Mise à
jour :
28-09-2023 Promouvoir le concept d'écovillage en Afrique Ecovillage Movement in Africa -------------------------------------------------------
Navigation -------------------------------------------------------------------------- Transports Transporter les personnes et les biens favorisant les échanges et les mises en réseau L'Afrique rurale a un problème de transport. Souvent, il n'y en a pas du tout. Les enfants marchent pendant des heures pour se rendre à l'école et arrivent tellement fatigués qu'il leur est difficile d'apprendre. Les familles font de longues marches pour se rendre au marché, et ne peuvent acheter que ce qu'elles peuvent rapporter à pied à la maison.. C'est ici que le vélo fait son entrée. Le vélo est la solution la plus rapide et la plus accessible pour répondre au problème de transport rural. Un vélo peut réduire le temps de trajet d'un écolier de 75% et quintupler la capacité de transport d'une personne.
En Afrique subsaharienne, le transport dans la plupart des villages consiste encore pour de nombreuses personnes (surtout les femmes) à marcher et à porter les charges sur la tête. Entre la marche/chargement sur la tête et les grands moyens de transport motorisés, il y a tout un éventail de moyens intermédiaires de transport. Ceux-ci permettent des capacités de transport accrues et réduisent la pénibilité à un coût relativement bas, ce qui permet de résoudre les problèmes de transport local. Les solutions de transport local sont notamment les brouettes, les chariots à main, les bicyclettes, les tricycles, les véhicules à traction animale, les motos et les remorques tirées par des motoculteurs. La promotion des moyens intermédiaires de transport a eu des résultats variés. Les exemples (en Mauritanie, au Sri Lanka, en Tanzanie et en Zambie) montrent à la fois l’efficacité et le manque de succès de la promotion de ces moyens intermédiaires de transport par des projets, des organisations non gouvernementales, le secteur privé (formel et informel) et des échanges entre individus. La plupart des technologies de transport asiatiques ont été promues par le secteur privé. Les bicyclettes et les ânes se sont surtout répandus en Afrique par le biais du secteur privé et de la promotion entre usagers. La diffusion informelle peut être rapide et efficace, mais la distribution inégale des technologies existantes de transport illustre son manque de fiabilité. Source
---------------------------------------------------- Transports pour le développement rural ---------------------------------------------------- Moyens de transport locaux pour le développement rural - Sans transports, les efforts se soldent par peu de résultats - Des transports efficaces augmentent la productivité des ménages, stimulent la production agricole et facilitent l’accès aux marchés http://www.networkhaiti.com/resource/transportation/route_moyen_de_transport_rural_50.pdf Succès et échecs de divers moyens de transports - monde-rural-Solutions-Acteurs-exemples et contre exemples PDF à télécharger site de la Banque Mondiale
Ce sont les femmes
qui, en Afrique rurale, assument la plus grande part des corvées de
portage et il faut commencer d’abord par comprendre leurs
habitudes en matière de transport si l’on veut réduire le poids de
ces corvées - Une étude de cas sur le rôle des femmes dans le
transport rural - L’accès aux sources d’approvisionnement pour les
besoins domestique - Christina Malmberg Calvo 1994 - Les besoins en
eau et en bois de chauffage constituent la plus grande part des
corvées de transport - L’allégement des corvées de transport
assignées aux femmes africaines des zones rurales leur permettra de
consacrer temps et efforts à des activités plus productives ou
socialement plus bénéfiques.
La marche à pied et le
portage prédominent dans les régions les plus pauvres. Le
transport est alors une activité qui demande beaucoup d’efforts pour
peu de résultats. La meilleure façon d’économiser l’énergie et de ne
pas contribuer au changement climatique est de ne pas utiliser de «
services modernes », en particulier les transports motorisés… Mais,
sans possibilité de déplacer les personnes et les biens, tout
développement humain et économique est impossible. L’absence
d’infrastructures et de moyens de transport en milieu rural, tout
particulièrement en Afrique subsaharienne, constitue un obstacle au
développement. Toutefois, il ne faut pas se concentrer uniquement
sur les infrastructures et les véhicules motorisés pour mener une
politique de transport. En analysant les « besoins » en déplacements
des populations rurales, on peut faire émerger des solutions
efficaces qui contribuent à la réalisation des Objectifs du
Millénaire pour le Développement (OMD). Ces solutions aux coûts
économique et environnemental acceptables, peuvent être mises en
œuvre à court terme et permettre un accroissement rapide des
conditions de vie des populations. par :
Global Chance est une
association de scientifiques et d’experts partageant la
conviction qu’un développement mondial plus équilibré peut et doit
résulter de la prise de conscience croissante des menaces qui pèsent
sur l’environnement global
Congo - Acquisition de 37 motos et 80 vélos pour le Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural dans le cadre de la campagne de relance agricole 2012-2013.
Forum International pour le Transport Rural et le Développement (FITRD) MELI MELI Vivien .... melvivien_03@yahoo.fr Tel : (+237) 961 04 80 Sociologue, Attaché d’Enseignement et de Recherche - Université de Dschang, Faculté des Lettres et Sciences Humaines - BP : 49 Dschang-Cameroun « Femmes « Bayam Salam » et insécurités routières rurales au Cameroun »
Le métier de Bayam Salam, ou -et en terme statistique- des femmes Bayam Salam, est une activité économique commerciale informel particulièrement émergente et prometteuse pour les classes sociales défavorisées (les femmes, les jeunes, les orphelins, bref les pauvres) au Cameroun. Il consiste en l’achat des produits vivriers, (secs et/ou frais) en zones rurales et leur revente en milieux urbains proches ou lointains. Les trajets MboudaBagam-Mbouda (7Km) ou Mbouda-Galim-Mbouda (14Km) n’en sont que des illustrations. C’est une activité, fortement dépendante du transport rural. Ce dernier, se prête par ailleurs à diverses formes de contradictions et d’incertitudes qui causent et renforcent les insécurités des femmes en général et des femmes Bayam Salam en particulier. Or cette activité leur permet de redresser la courbe du rapport de force et de domination social masculin dont elles sont victimes. Ces pesanteurs routières qui maintiennent la femme en situation d’infériorité sont liées à plusieurs paramètres interdépendants. D’abord, la qualité et la quantité de la route : les routes rurales, en terre, étroites et non matérialisées, sont très glissantes en saison pluvieuse, -limitant ainsi la mobilité des femmes Bayam Salam- et poussiéreuses en saison sèche. Ensuite, la qualité et la quantité des moyens, des modes et des réalités de transport rural : les principaux moyens de transport sont les « Dynas » (pick-up) les « DX » (taxis-brousse) et les motos. Le mode de transport est davantage mixte. Le transport rural est par ailleurs mal connu, voire méconnu et négligé par les pouvoirs publics et c’est ce qui lui vaut son ses insuffisances d’organisations et son opérationnalité clandestine au Cameroun. Enfin, la qualité et la quantité des interactions et des attitudes des acteurs de contrôle des transports, de prévention et d’entretien routier : sont davantage véreuses et se traduisent par le monnayage routier exacerbé, les soustrayant de l’effectivité de leurs actions de sécurisation routière. Ces impondérables du transport rural ont pour conséquence, la quantité des moyens de transport limitée, la mauvaise qualité des transports (les surcharges, la mixité de transport, la qualité des transporteurs, la qualité des moyens de transport, etc.), l’insécurité économique sociale et sanitaire notamment du risque d’infection au Vih/Ssida et l’insécurité des biens et des personnes physiques. Face à ces incertitudes, les femmes Bayam Salam ne sont pas indifférentes, ni passives, elles développent des stratégies et mettent en œuvre des pratiques pour se maintenir et accroître leur sécurité sociale et routière. Il s’agit en l’occurrence de la mixité des modes de transport, de la variabilité des marchandises, du stockage des marchandises, de la solidarité de corps agissante et de la contribution aux travaux communautaires d’entretien routier rural. Mais des actions durables peuvent être entreprises sous formes de recommandations à cette étude qualitative. Elles se résument ainsi : l’institutionnalisation publique intégrée et participative du transport rural, l’effectivité des actions des différentes parties prenantes au transport rural. Par ailleurs, de façon transversale la nécessité des travaux de recherche sur le transport rural en général.
Infrastructures-commercialisation-Produits vivriers de base au
Benin-2010
Commercialiser des solutions innovantes pour la base de la pyramide
- mars 2013
Document PDF
---------------------------------------------------- Se déplacer en vélo - créer un atelier ---------------------------------------------------- Atelier, vente, locations, réparations, créations de prototypes, formations, création d'emplois, piste cyclable pour l'entraînement des jeunes
Velafrica en Suisse depuis 1993 ... des vélos pour l'Afrique (des VTT surtout - Des pièces de rechange) - 20.000 vélos vers sept pays ... Tanzanie, Burkina Faso, Madagascar, Afrique du Sud - Ghana, Gambie, Côte d’Ivoire L’association Vélos pour l’Afrique exporte des vélos de bonne qualité et en bon état dans des pays africains. Ils sont ensuite revendus dans des coopératives à moindre coût. «Vélos pour l'Afrique» table sur des impulsions durables. Par notre engagement, nous contribuons à l'amélioration du bilan écologique, nous encourageons la microéconomie et facilitons l'intégration professionnelle et sociale. Recycling-Werkstätten - Waldeggstrasse 27 3097 Liebefeld Suisse
Arusha Bicycle Center, Tanzanie... soutenu par
Velafrica - Une opportunité pour les femmes - création d'emplois
Un vélo
pour l’afrique – 500 vélos pour l’Afrique chaque année
World
Bicycle Relief, a conçu le vélo Buffalo et administre les
programmes Arbres contre Vélos et Détritus contre Vélos, et pour
l'engagement de Qhubeka, qui a fourni plus de 40 000 vélos pour les
enfants dans le besoin, à ce jour.
Inventez un vélo pour l’Afrique - "Un vélo peut faire une
différence dans ce monde", assure Wiki bike. Cette plateforme en
ligne, créée par l’association néerlandaise Cycling out of Poverty,
propose aux internautes d’inventer des vélos afin de lutter contre
la pauvreté en Afrique.
BIKE4SCHOOL - Education - écoles
"Gebana
Afrique" à Ougadougou, Burkina Faso
Vélos
Buffalo - En
2005, World Bicycle Relief s’installe à Lusaka. Cette ONG fondée
par deux Américains commercialise le Buffalo, un vélo tout terrain
très solide, capable de transporter de lourdes charges. Ce vélo est
parfaitement adapté aux chemins cabossés des campagnes zambiennes et
change la vie de nombreux zambiens.
Des
vélos pour l’Afrique
Des
partenaires africains de l’organisation ont mis au point le Xtrabike,
un vélo qui permet de répondre à des déplacements typiquement
effectués sur le continent : transporter de l’eau, des denrées
alimentaires, des marchandises, et
Remorque vélo - plans
Atelier vélos aux Petits-Riens de Bruxelles - Les ateliers vélo sont des lieux où vous pouvez réparer, apprendre à réparer ou faire réparer votre vélo quels que soient sa marque, son état, son origine. Vous pouvez parfois y acheter un vélo d'occasion. Ces ateliers prônent le recyclage, la réutilisation et la revalorisation en donnant une nouvelle vie aux vélos. http://www.petitsriens.be/bike-paradise-rue-americaine-101-1050-bruxelles-ixelles/ http://www.gsara.tv/~ouishare/index.php/transports/124-reparation-de-velos------------------------------------------------
Vidéo -
En 2005, World Bicycle Relief s’installe à Lusaka. Cette ONG
fondée par deux Américains commercialise le Buffalo, un vélo tout
terrain très solide, capable de transporter de lourdes charges. Ce
vélo est parfaitement adapté aux chemins cabossés des campagnes
zambiennes et change la vie de nombreux zambiens.
Des
vélos pour les paysans de Burkina vert
Le cargocycle - Le transport écologique de marchandises, La Petite Reine connait un succès qui confirme la montée en puissance de l’économie sociale et solidaire - Nos véhicules pèsent 100 kg, ont une capacité de charge de 180 kg. Et surtout ils sont non polluants ! Nous sommes à même de livrer tous types de marchandises compatibles avec le volume de notre véhicule Cargocycle (1500 litres).
Center of Bicycle Technology In Guatemala - pedal powered machines - water pumps, grinders, threshers, tile makers, nut shellers, blenders (for making soaps and shampoos as well as food products), trikes, trailers and more http://mayapedal.org/ PEDAL stands for Pedal Energy Development ALternatives. It is an umbrella organization for several bicycle related projects in the Vancouver area - a do-it-yourself bike shop and recycling service to commuter cyclist http://pedalpower.org/
Un vélo fabriqué à partir d'éléments de voitures ----------------------------- Possibles services annexes - Exemples en Europe :
La
Suisse à pied, en vélo, en rollers - Itinéraires en Suisse ------------------------------------------------------
Quel
vélo pour l'Afrique ?
------------------------------------------------------------------------ Des Bicyclette pour faire fonctionner des machines ------------------------------------------------------------------------
Bicyclette pour faire fonctionner des machines
Pedal Power is a tiny start-up (two guys) based in Essex, New York. A few weeks ago, photos of their bike machine spread widely across the Internet. “With an efficiency of 97 percent, bicycle technology is nearly perfect,” they wrote in their pitch. “So why do we use it only for transportation? Or, even more wastefully, for spin classes or SoulCycle. That is kinetic energy just floating up into ether and steam and sweaty song. It’s like pouring crude oil down the drain. The Internet agreed. Last week their Kickstarter campaign reached its $10,000 goal. Today it’s over $30,000. This week they begin work on open-source plans; the stated goal of the crowd-funded project.
“I would
love to see Pedal Power machines in every coffee shop in every city
in the country,” co-founder Steve Blood stated in an interview. “So
that people who are working on their laptops, working on their iPads,
are at the same time generating their own power for those devices. I
want to connect people to the energy they use. I want people to
understand how precious energy is, and how hard it is to come by.”
Pedal
Power (Essex Nex-York) Email: info @@@
pedal-power.com
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